Vendée Globe
Depuis 1992, deuxième édition du Vendée Globe, Arrivé, puis Nutriciab, sponsorisent un bateau à chaque course en solitaire. À l'époque, la course compte 15 bateaux au départ et 7 seulement sont à l'arrivée. C'est une édition sans pitié avec des conditions météo extrêmement difficiles.
Des lieux mythiques à passer ou à éviter
- Chenal des Sables d'Olonnes - départ et arrivée.
- Golfe de Gascogne - ses vents violents du Sud-Ouest et ses vagues les plus escarpées de toute l'Atlantique nord 6-8 m.
- Anticyclone de Açores et de Ste Hélène - leur mer sans un souffle d'air, les Alizés tournent dans le sens des aiguilles d'une montre.
- Cap de bonne espérance - ses courants d'une rare violence et ses tempêtes violentes.
- îles de Kerguelen - sa température annuelle 5° trajectoire pile des dépressions.
- Cap Horn - ses tempêtes mémorables.
Jour et nuit le skipper est en éveil
Le skipper est avant tout animé par l'aventure. C'est la recherche permanente de la meilleure route, l'adéquation de la voilure avec la météo et les réparations éventuelles qui occupent le marin. Mais il mange et dort... un peu. Pas plus de 30 à 45 minutes de repos à suivre et des repas lyophilisés. Pour boire, une machine dessale l'eau de mer. Et la toilette se fait aussi à l'eau de mer.
Les vainqueurs
- Ils vont de plus en plus vite et battent des records chaque année.
- Ils sont des marins d'exception et de grands compétiteurs-trices.
- Ils ont un moral d'acier et des capacités hors normes.
- Ils nous font vivre l'Odyssée moderne.